Je termine ce we de Noël, où j'ai fait mon ours pour la seconde année, avec beaucoup de sensations entremêlées en moi et je ne sais somment les exprimer clairement.

Une année de plus... à la fois comme les autres à la fois complètement à part. Une année effrénée. Une année éreintante. Une année excitante. Une année angoissante. Une année mortelle. Une année de renouveau. Une année existentielle. Une année de pose de fondations. Une année d'éprouvante et fragile solitude. Une année de mauvaises surprises. Bref, une année d'ambivalences, de celles qui vous font avancer.

Je sors du cinéma où je suis allée voir le dernier film de Nicole Garcia "Un balcon sur la mer" où je découvre vraiment Jean Dujardin (parce que c'est pas dans les "Petits mouchoirs" qu'on pouvait vraiment le voir même s'il était l'objet du film) qui a l'air d'être la coqueluche du cinéma français de ces derniers temps... je découvre donc, avec un certain plaisir puisqu'émane de cette réputée "masse virile" une certaine gravité sensuelle... dont les fantasmes qui s'échappent, je ne suis pas dupe ni originale, sont ceux des 3/4 des bonnes femmes voire et de certains hommes aussi certainement.

Une transition... Je ne sais que dire. Écoutez plutôt Sarah Blasko ou bien Rebekka Karijord !